Parler des militaires français morts ou blessés au combat n’est pas à la mode. Montrer leurs blessures psychologiques — par définition invisibles — est un tabou.
Donner la parole à ceux qui en sont victimes, c’est comprendre les ressorts de ce mal insidieux. C’est aussi inviter les pouvoirs publics à mettre en œuvre une meilleure prise en charge de ces blessés et
à accompagner ceux qui, par leur engagement indéfectible, ont servi les valeurs de notre pays.
Photographe au sein de l’Armée de 2006 à 2016, aujourd’hui photojournaliste freelance, Jérémy Lempin rend hommage à ces anciens frères d’armes en montrant sans fard la souffrance endurée par les soldats atteints d’ESPT et les conséquences sur leur cercle familial.
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